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En réponse à « « Une autre réforme des retraites est possible ! »

gillesdavid | 26 janvier 2011

8370-reforme_retraites_regime_repartition-440x480Dans la rubrique « Débats/ Décryptages » de son édition du 9 septembre, « Le Monde » publie un article intitulé « Une autre réforme des retraites est possible ! » Moi, René Cadiou, administrateur territorial en retraite, ancien chef de cabinet d’Edmond Michelet et ancien conseiller technique des cabinets de Raymond Marcellin, souhaite y répondre si vous avez de l’amabilité de publier mon texte.

« Il est proprement affligeant de lire de pareilles banalités et contrevérités sous la plume de gens reconnus dans les domaines de l’économie, de la sociologie et de l’histoire.

S’abaisser à affirmer que l’urgence ne dépend que des menaces des agences de notation est d’une démagogie qu’on ne soupçonnerait pas venir de personnalités aussi notoirement connues. Depuis le rapport de Michel Rocard, le temps pour la discussion n’a pas manqué. Qu’avons-nous fait, alors que l’Allemagne avait mis en chantier ses réformes dès 1992 ? Le contraire ! Quelques années auparavant, en toute connaissance de l’évolution démographique, la gauche a abaissé l’âge de la retraite à 60 ans et, quelques années plus tard, a réduit la durée hebdomadaire du travail à 35 heures. A part la mise en place du COR et la création d’un fonds de réserve, seule la droite a été assez courageuse pour amorcer les indispensables réformes, en 1993 et en 2003.

A contrario, donc, si je suis les signataires, s’il n’y avait pas d’agences de notation, quelle aubaine, nous n’aurions pas à nous soucier de combler les déficits, peut-être pourrions-nous même les creuser davantage. Heureusement, la vieille revendication de toutes les gauches, « mettre à contribution les revenus du capital et les hauts revenus », est là pour satisfaire toutes les démagogies. Nos prélèvements obligatoires sont des plus élevés, ils contribuent, pour la plus grande part, à réduire notre compétitivité, nous ne cessons de perdre des parts de marché, contrairement à nos voisins allemands, et, bien entendu, des emplois. Quant aux « hauts revenus », je ne vois pas d’inconvénients à ce qu’ils soient davantage imposés, mais que pourrions-nous en tirer de substantiel, d’autant qu’ils peuvent toujours s’exiler sous des cieux plus cléments ? Le « droit à la retraite est un droit fondamental », j’en suis bien conscient parce que j’en vis. Mais, hélas ! Il est aussi intimement lié à l’évolution démographique à plus ou moins long terme et aux conditions économiques du moment, conditions qui, si elles s’améliorent, ne nous laissent pas moins face aux redoutables compétiteurs que sont la Chine, l’Inde, voire le Brésil, qui se moquent bien de nos états d’âme. »

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Petit retour sur 2010 - La réforme des retraites -

gillesdavid |

Article réalisé par René CADIOU de Quimperlé


L’appel aux lycéens. C’est le comble de la démagogie, de l’irresponsabilité, pour ne pas qualifier cette attitude de quasi-criminelle. Que savions-nous en 1960, j’avais 29 ans, de la situation qui serait la nôtre en 2010 ? Que savent ceux qui les incitent à se joindre à eux de la situation qui sera la leur en 2060 ? D’éminents spécialistes pensent que ce siècle verra entre 16 et 18 changements profonds affecter le système économique mondial, beaucoup plus qu’au cours des 6 siècles qui viennent de s’écouler. Nous y préparons-nous ? Non !
L’homme est fait pour relever les défis que nous lancent la mondialisation, les nouveaux compétiteurs, Chinois, Indiens, Brésiliens. Il y a peu d’appels dans cette direction. Paul Hutin a rappelé, en première page, le rapport de Madame Vike-Freiberga sur le devenir de l’Europe : « La France ne pourra maintenir son train de vie en travaillant 35 heures par semaine et en partant à la retraite à 58 ans. C’est très clair ! On peut l’appeler de tous ses vœux, le chanter sur tous les tons, c’est impossible ! » La presse, d’une manière générale, se fait l’écho de nos gémissements et les soutient par des exemples d’une affligeante débilité, comme celui de cet informaticien territorial, crevé à 59 ans, qui ne pourrait accomplir 3 mois de travail supplémentaire. Nul appel au courage, à la lucidité.
Tous les pays ont réformé leur système de retraite en raison de l’évolution défavorable de la démographie. Dès 1984 la Suède a entrepris une réforme profonde qui, de plus, tient compte des aléas de l’économie. Cette réforme n’a d’autre but que de satisfaire les agences de notation, soutiennent quelques brillants économistes, sociologues et historiens. Qu’elles nous maintiennent un triple A ou nous infligent un double B, ne changera rien au fait qu’en 2050 la France comptera 22,3 millions de personnes âgées de 60 ans et plus, pour 12,6 millions en 2005. Pour ce qui nous concerne, elle est aussi financière. Pourquoi ? Deux années avant la décision prise par les Suédois, nous avons fait l’inverse. Nous avons ramené l’âge légal de 65 à 60 ans, ajoutant ainsi 5 années supplémentaires à la charge de la Caisse de retraites, ont suivi les préretraites, jusqu’à 700.000 par an, chargeant ainsi de plus de 2 nouvelles années ladite caisse, puis nous avons institué les 35 heures et, enfin, dispensé les chômeurs de plus de 57 ans, de rechercher un emploi. C’est donc, au moins 10 années, qui ont été ajoutés au fardeau déjà lourd des retraites. La Fontaine ne nous a rien appris, plus cigales que fourmis.
Quelle est la solution ? Il faut taxer le capital hurle la gauche. Quelle le fasse ! Qu’elle précise à quelle hauteur ! A l’horizon 2018, il manque 45 milliards pour régler le problème, jusqu’à ce moment. C’est quoi 45 milliards ? Selon le budget 2010 de l’Etat, c’est 91,83% de l’impôt sur le revenu, 128,57% de l’impôt sur les sociétés, 28,11% de la T.V.A. nette. Il manque 20 milliards à la Sécurité sociale. Le budget 2010, en lui-même, est déficitaire de 55,08%, notre endettement s’élève à 1.600 milliards. J’ajouterais, en cette période du salon de l’automobile, que seulement 27% des composants qui entrent dans la construction d’une automobile fabriquée en France, sont fabriqués chez nous. Pourquoi nous gênerions-nous ? Faisons comme si tout cela n’existait pas et, à défaut de Dieu, les Chinois finiront par y pourvoir.

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La solidarité de gauche

gillesdavid | 23 janvier 2011

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LOGEMENT : UN NOUVEAU COUP DE POUCE POUR DEVENIR PROPRIÉTAIRE

gillesdavid |

Depuis le 1er janvier 2011, le nouveau taux à prêt zéro (PTZ+) devient plus simple, universel et sans condition de ressources

Pour beaucoup de Français, devenir propriétaire est un rêve. Et pour que ce rêve devienne réalité, le Gouvernement, sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy, a réformé en ce début d’année 2011 les aides existantes pour l’accession à la propriété.

Objectifs : grâce à cette opportunité, que les Français puissent plus facilement encore acquérir leur premier logement, que la solvabilité des ménages soit augmentée et qu’ainsi la France, avec ses 58% de propriétaires, progresse et rejoigne la moyenne des grands pays européens (66%).

En déplacement lundi en Seine-Saint-Denis, le Premier ministre François Fillon a lancé ce nouveau dispositif -le prêt à à taux zéro + (PTZ+)- plus simple et plus puissant que le prêt à taux zéro actuel.

Le nouveau PTZ+ qui résulte de la fusion du Pass-Foncier, de l’ancien PTZ et du crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt, propose des montants et des durées de prêts supérieurs. Il se présente sous la forme d’un prêt à taux zéro renforcé universel, c’est-à-dire sans condition de ressources, réservé aux primo-accédants.

Les montants des prêts, supérieurs à ceux en vigueur auparavant, dépendront de la localisation, de la performance énergétique du logement, de son statut (neuf ou ancien) et de la composition de la famille. Ainsi, l’aide accordée sera plus importante si l’achat porte sur un logement neuf avec l’objectif « d’encourager la construction plutôt que de contribuer à faire grimper les prix dans l’immobilier », comme c’est le cas en Ile-de-France où le marché est très tendu.

La démarche du Gouvernement -qui traduit la volonté de Nicolas Sarkozy exprimée lors de la campagne des présidentielles en 2007- répond aux souhaits des classes moyennes qui aspirent à plus de stabilité, à plus de sécurité, qui veulent pouvoir disposer de racines solides pour forger une famille, pour éduquer leurs enfants, pour s’impliquer dans la vie locale.

« Le PTZ+ s’inscrit parfaitement dans la lignée du Grenelle de l’Environnementvisant à améliorer la performance énergétique des bâtiments anciens, et à encourager l’acquisition de logements neufs BBC », remarque Eric Diard, secrétaire national de l’UMP en charge de la Croissante verte et des Energies.

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Un peu de bon sens

gillesdavid | 22 janvier 2011

Article réalisé par René CADIOU de Quimperlé

Les Français ont un problème avec l’argent, ce n’est pas discutable. Surtout avec celui du voisin, écrivait récemment un éditorialiste. C’est ainsi que j’ai pu lire : Fouquet’s, Bolloré, le « fric ».

Le Fouquet’s est un restaurant connu du monde entier, il fait honneur à la France. Quant aux hommes, seules leurs qualités humaines et professionnelles devraient intéresser l’opinion, non leur fortune. Vincent Bolloré a redressé l’affaire familiale qui allait sombrer, il a acquis et développé des quantités d’entreprises en France, innové, conservé et créé de ce fait d’innombrables emplois, de même en Afrique où, je l’ai lu dans « Challenges », il fait rouler plus de 40.000 camions qui transportent, essentiellement, les marchandises du groupe P.P.R.. C’est bien français tout cela. On aurait pu associer son nom non pas au « fric », mais à celui d’un brillant industriel, dont il nous faudrait quelques milliers et, d’une taille plus modeste, des dizaines de milliers de Piriou de Concarneau et d’Yves Guelt, mon ami de Quimperlé. Si jamais il m’invite à dîner, je me demande si je ne vais pas refuser afin de ne pas me compromettre.

Bien que nous manquions cruellement de ces industriels talentueux, nos plus brillants éditorialistes, c’est plus payant, préfèrent les associer au « fric », soutenant ainsi nos concitoyens dans la perception qu’ils ont de l’argent. Ainsi, Christophe Barbier, à propos de l’affaire Bettencourt : « c’est une histoire de gros sous », sans davantage préciser ; c’est sans doute le seul élément de son éditorial qui a été retenu. Il a tout de même ajouté que l’Oréal, qui emploie 64.000 salariés, pourrait bien être la victime de ces règlements de comptes. Il ne faut pas oublier que la circulation des personnes et des biens est libre. Le nombre de nos concitoyens qui ont élu domicile en Suisse, au Luxembourg et en Belgique, est connu. Je ne les absous pas de leur fuite, mais je redoute que de nombreux autres les suivent.

Cela dit, sont associés dans la même détestation, riches industriels et hommes politiques, aujourd’hui la majorité UMP, un peu l’opposition avec les « affaires » Andrieux et Teulade. Le gouvernement est corrompu, affirme une éminente femme politique qui, soit dit en passant, omettait de rémunérer ses collaborateurs, bien que soutenue financièrement par un richissime homme d’affaires, naguère dans la haute couture et, aujourd’hui, financier d’un quotidien du soir.

« Halte au feu ! » était un conseil tout à fait pertinent. Cette polémique qui vise à tout confondre, est aussi nuisible à la démocratie qu’à la solution des énormes problèmes que nous avons à résoudre. Claude Askolovitch, dans le JDD du 11 juillet, revendique le droit aux questions. Mais, en l’occurrence, il a été porté davantage d’accusations sans preuves qu’il n’a été posé de questions. Certes ! Il faut défendre ce droit. La démocratie exige la transparence, mais, comme l’écrit Dominique Schnapper : « la transparence nourrit plus la méfiance que la confiance. »

Laissons donc la Justice, qu’on en finit plus de soupçonner, faire son travail. Finirons-nous par nous consacrer à l’essentiel ? Intègrerons-nous que le monde n’est plus ce qu’il a été, que, par exemples, l’industrie automobile est en surcapacité d’au moins 25%, qu’il nous manque, dès cette année, 30 milliards pour financer nos retraites ou attendrons-nous, comme en 1940, que l’ouragan qui déjà souffle en tempête, emporte tout ?

A Paul Goupil, rédacteur en chef adjoint d’Ouest-France. René Cadiou

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Héros Breton..

gillesdavid |

Article réalisé par Monsieur René CADIOU de Quimperlé

« Héros breton » Réponse à Jean Cévaër de Pornichet, Courrier des lecteurs du 30 juillet 2010)

Jean Cévaër a raison sur un point : « Henri de Kerillis était un antifasciste militant. » Un héros ? Il aurait pu l’être, il en avait certainement toutes les qualités.

En 1938, à la Chambre des Députés, il fut l’un des deux députés non communistes, le seul de droite, à voter contre les « accords de Munich ».

A Londres, en juin 1940, il a effectivement offert ses services au Général de Gaulle. Il s’est ensuite rendu à New-York où, en compagnie de Geneviève Tabouis, il a collaboré au journal « Pour la Victoire » qui soutenait la résistance du Général de Gaulle.

Puis il a apporté son soutien au Général Giraud qui, ne l’oublions pas, soutenait la politique de Vichy en Afrique-du-Nord, nos concitoyens de confession israélite demeuraient détenus, il n’avait aucune des qualités d’un homme d’Etat, et s’était laissé imposer par les Américains une parité monétaire qui nous était extrêmement défavorable.

La vie aux Etats-Unis n’avait rien à voir avec celle des Anglais et encore moins avec celle des Français. Est-ce le confort, l’absence de danger, l’influence de la Maison Blanche ? Toujours est-il que d’éminents français comme Alexis Léger ont passé plus de temps à dénigrer de Gaulle qu’à servir leur pays, ce que faisait, par ailleurs, l’envoyé de Franklin Roosevelt auprès du Maréchal Pétain, l’Amiral Leahy.

Aucune comparaison n’est possible entre les gaullistes de cette époque et les communistes. Les premiers s’appelèrent ainsi pour témoigner de la précocité de leur engagement aux côtés du seul homme qui s’était levé pour refuser la défaite, sans doute intransigeants dans leur patriotisme exprimé avec force. Les seconds avaient fait leur la philosophie marxiste-léniniste, en fait une idéologie, ce qui n’a rien à voir avec le refus d’une défaite.

Mais, en 1935, lorsque Henri de Kerillis s’est rendu à Moscou, il était partisan de cette stratégie qui avait notre faveur, que nous recherchions, celle des alliances de revers ; il en était revenu très favorable à une alliance franco-soviétique, comme l’atteste son ouvrage « Paris-Moscou en avion ».

Henri de Kerillis était un grand patriote qui n’a jamais admis s’être trompé. Son refus de le reconnaître lui a fait écrire des stupidités qui, fort heureusement, n’ont pas toutes été publiées. Celle, en particulier, où il imputait au Général de Gaulle la responsabilité de l’assassinat de son fils par la Milice. Par contre « De Gaulle dictateur » a bien été publié. Ce dictateur, bien atypique, démissionna le 20 janvier 1946. Mais, nous, Français, avons cette particularité des assimilations abusives, du genre « réussite/fric », ou général/dictateur. J’ai d’ailleurs dû rectifier, le 18 juin dernier, les propos d’un ami dont je ne doute pas des sentiments républicains : « Nous pouvions craindre de la part d’un général . . . » Mais de nos cruels dictateurs du 20ème siècle, Staline, Hitler, Mussolini, Salazar, aucun n’était militaire.

Henri de Kerillis ne s’est jamais remis de ses erreurs. Ulcéré il s’est enfermé dans son chagrin, refusa de revenir en France et mourut, le 11 avril 1958, dans sa ferme de Long Island.

Les années passant, par ignorance, par calcul, pour se placer, la tentation est grande de travestir l’histoire. Les glorieuses pages écrites, tant par le Général de Gaulle que par Winston Churchill, sont sans équivalents dans l’histoire moderne. Tous les deux ont refusé l’humiliation de l’armistice, la soumission à l’occupant nazi, pour l’un, un « arrangement » avec l’Allemagne nazie pour l’autre, ce que peut être un autre gouvernement aurait accepté. Face aux bouleversements qui menacent notre quiétude nous devrions nous pénétrer de la détermination de ces deux hommes exceptionnels afin de nous prendre en charge et « épouser notre temps ».

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SITUATION DES FINANCES PUBLIQUES, OÙ EN EST-ON ?

gillesdavid | 17 janvier 2011

- Le constat, aujourd’hui tout le monde le connaît. Depuis 1974, aucun Gouvernement n’a voté et exécuté un budget en équilibre. Le poids de la dépense publique n’a cessé de croître depuis 30 ans (56% du PIB en 2009,
contre 40% au milieu des années 1970), alors que la dette publique a été multipliée par 18 entre 1978 et 2008 !

- Tous les Gouvernements ont leur part de responsabilité dans cette situation, surtout ceux qui ont bénéficié d’une forte croissance et qui n’ont pas cru bon de s’engager sur la voie de la maîtrise des dépenses publiques. La gestion du Gouvernement de Lionel JOSPIN en est l’exemple le plus emblématique : alors que la France
bénéficiait à la fin des années 1990 d’une embellie de la croissance mondiale, le Gouvernement JOSPIN s’est lancé dans une politique d’augmentation des emplois publics et de baisse d’impôts non ciblées (passage de la
TVA de 20,6% à 19,6%) à un moment où il était inutile de stimuler la consommation. Nous subissons aujourd’hui
l’héritage de ces choix.

- Parce que cette situation, aggravée par la crise, n’est plus tenable, le redressement de nos finances publiques est LA priorité du Président de la République et du Gouvernement. Dans les voeux qu’il a adressés aux Français le 31 décembre dernier, Nicolas SARKOZY a rappelé que « la France tiendrait ses engagements en réduisant ses
comptes » et qu’il « ne transigerait pas sur cet objectif ». Cette volonté de maîtriser nos finances publiques se traduit dans le budget 2011 porté par François BAROIN, qui a été adopté par le Parlement et qui vient d’être
validé par le Conseil constitutionnel.

1974 : la dernière année où le budget de l’Etat a été voté et exécuté à l’équilibre.

6% : c’est l’objectif, en % du PIB, du déficit public pour 2011 (7,7% en 2010).

2016-2017 : c’est l’horizon de retour à l’équilibre de nos finances publiques

- Je rajouterai que le redressement de la dette publique n’arrive qu’en cinquième position dans les priorités des Français, ce qui est malheureux, mais c’est une conséquence de la désinformation systématique de la gauche, alors que la réduction du déficit public du pays influe directement sur la vie de tous les jours de chaque citoyen.

François BAROIN : « Un seul objectif m’a été fixé par le Président de la République et le Premier ministre
lorsque j’ai été nommé ministre du budget il y a six mois : réduire nos déficits. C’est une mission difficile, nécessairement impopulaire, mais c’est une mission essentielle ».

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Renforcer la sécurité pour garantir la liberté

gillesdavid | 13 janvier 2011

La Loppsi 2, Loi de d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure, a été adoptée à mardi 21 décembre en seconde lecture.

Depuis 2002, la majorité mène un combat de tous les instants contre la délinquance. Et ce combat porte ses fruits : en 7 ans (entre 2002 et 2009 inclus) la délinquance globale a baissé de 14%, soit 500 000 victimes de moins par an.
Mais la délinquance ne cesse d’évoluer et notre loi doit s’adapter à ces évolutions. Ainsi, les violences, qui étaient stables, ont augmenté en 2009 de 2,8% et elles concernent des délinquants de plus en plus jeunes - le nombre d’hommes mineurs mis en cause pour vols à main armée est en hausse de 55,7%.

La Loppsi 2 vise donc à réagir avec fermeté à l’évolution de la délinquance afin de préserver l’exercice des libertés des Français. Dans cette optique, la Loppsi 2 contient 9 mesures phares :

1) Des peines planchers pour les primo-délinquants les plus violents : la loi prévoit  une peine minimale de 6 mois pour les auteurs de violences aggravées passibles de  3 à 10 ans d’emprisonnement. Ce dispositif, qui existe déjà pour les délinquants récidivistes, sera applicable dès la première peine.

2) L’allongement de la période de sûreté à 30 ans pour les meurtriers de policiers. Cette mesure permet de sanctionner le caractère particulièrement inacceptable du meurtre d’agents des forces de l’ordre, qui au-delà même de leur fonction, représente note pays dans son entier.

3) L’extension de la surveillance judiciaire : le suivi-socio judiciaire –dont le recours au bracelet électronique - est étendu aux récidivistes condamnés à au moins 5 ans de prison contre 7 ans aujourd’hui. Cela doit permettre une meilleure réinsertion des délinquants dans la société.

4) La comparution immédiate des mineurs : pour contrer l’augmentation des violences chez les plus jeunes, la loi permet à un procureur de poursuivre directement un mineur devant le tribunal pour enfants sans passer par le juge des enfants si des investigations sur les faits et sur la personnalité du prévenu ne sont pas nécessaires.

5) L’expulsion de certains criminels étrangers. C’est à l’initiative des députés UMP de la droite populaire que cette mesure a été adoptée. Lorsqu’un criminel de nationalité étrangère est jugé par une cour d’assises française, et qu’il peut encourir une peine complémentaire d’interdiction du territoire français -déjà prévue dans le code pénal mais qui ne peut être appliquée que si le jugement le précise-, le Président de la Cour peut poser au jury la question concernant le prononcé de cette interdiction. C’est le jury qui tranchera, au cas par cas.

6) L’accroissement de la lutte contre la cybercriminalité. Cela passe notamment par l’obligation pour les fournisseurs d’accès à Internet de bloquer les images à caractère pédophile sur des sites notifiés par le ministère de l’Intérieur. Par ailleurs, dans le cas d’enquête sur la criminalité organisée, des « écoutes » informatiques pourront être lancées et des données saisies sur décision du juge d’instruction.»

7) L’évacuation des campements illicites en cas d’insalubrité ou d’insécurité : les préfets auront le pouvoir de procéder à des expulsions, 48 heures après une mise en demeure.

8) L’interdiction des squats : cette disposition vient combler un vide juridique, le fait de séjourner dans le domicile d’autrui sans l’autorisation du propriétaire sera puni au maximum d’un an de prison et 15 000 euros d’amende.

9) L’assouplissement du dispositif de récupération des points du permis : les députés ont décidé de ramener de 1 ans à 6 mois sans infraction le délai nécessaire pour récupérer 1 point perdu pour une contravention de 1ère, 2nde, 3ème classe (petits excès de vitesse etc.) et de ramener de 3 à 2 ans sans infraction, le délai de récupération de l’intégralité des points perdus, sauf pour les infractions et les délits de 4ème classe et au-delà (refus de priorité, alcoolémie, dépassements de plus de 40 km/h.). Il ne s’agit évidemment pas d’être laxistes en donnant un blanc-seing aux délinquants de la route, car les infractions les plus lourdes seront toujours pénalisées avec la plus grande fermeté, mais d’assouplir la loi pour donner un signal encourageant aux conducteurs les plus raisonnables, qui n’arrivaient souvent pas à récupérer leurs points perdus pour des infractions mineures et sans danger.

Fermeté renouvelée contre les délinquants les plus durs (peines planchers pour les violences aggravées, 30 ans de période de sûreté pour les meurtriers de policiers), assouplissement pour les délits mineurs (perte d’un point sur le permis de conduire), accroissement des efforts en faveur de la réinsertion (recours au bracelet électronique favorisé) adaptation de notre droit au développement de certains réseaux criminels (lutte contre la cybercriminalité)… la Loppsi 2 est une loi complète et équilibrée qui donne à la justice et à la police des moyens accrus pour mieux assurer la sécurité des Français.

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LE RÉGIME PAR RÉPARTITION SAUVÉ

gillesdavid | 8 janvier 2011

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1) En votant cette réforme des retraites, notre majorité peut avoir le sentiment du devoir accompli :

  • En menant à bien cette réforme, notre majorité, aux côtés du Président et du gouvernement, peut s’enorgueillir d’avoir été au rendez-vous du courage et de la responsabilité ! Cette réforme est un des actes majeurs du quinquennat.

  • Nous avons tenu bon parce que c’était notre devoir. Notre régime par répartition était au bord de l’explosion : en 50 ans, le rapport actifs/retraités a été divisé par 2 (de 4 pour 1 à 1,8 pour 1) et le temps passé à la retraite a été multiplié par 2 (de 10 à 20 ans !). Aujourd’hui, 1 retraite sur 10 n’est pas financée ! Demain, en 2030, si rien n’avait été fait ce serait 1 sur 6 ! Et le déficit atteint 32 milliards d’euros en 2010 et sans réforme, ce serait 45 Mds€ en 2020 et 100 Mds€ en 2050 !

  • Ne pas repousser l’âge légal de départ, seul vecteur véritablement efficace (ce n’est pas un hasard si tous nos voisins ont choisi ce vecteur plutôt qu’un autre), c’était tuer notre système de retraites par répartition et en priver nos enfants demain !

2) Cette réforme est juste et efficace :

  • juste, parce que nous ne reportons pas la charge des retraites sur nos enfants (retraites à crédit) et nous n’hypothéquons pas leur chance de bénéficier du même système que nous.

  • juste parce que plusieurs avancées uniques au monde sont instaurées dans cette réforme : la prise en compte de la pénibilité, l’amélioration du dispositif carrières longues, la revalorisation des retraites agricoles !

  • efficace, parce qu’elle permet de revenir à l’équilibre en 2018 et qu’elle préserve le principe du système de retraites par répartition.


3) Enfin, cette réforme aura été une nouvelle fois une illustration cinglante de l’incapacité du PS à incarner une alternative crédible et constructive !

  • Faute de proposer un projet alternatif crédible, le PS n’a rien trouvé de mieux que de mettre les jeunes dans la rue en leur faisant croire que maintenir les seniors au travail c’était les condamner au chômage.

  • Pourtant, les pays qui ont le taux d’emploi des seniors le plus élevés sont aussi ceux qui ont le meilleur taux d’emploi des jeunes, et inversement :

    ► Aujourd’hui, en France les taux d’emploi des seniors et des jeunes sont parmi les plus bas de tout l’OCDE : 31,4% pour les 15-24 et 38,9% pour les 55-64 ans… alors que nous avons l’âge de départ à la retraite le plus précoce à 60 ans !

    ► En Allemagne où l’âge de départ est aujourd’hui fixé à 63 ans : les taux d’emploi des seniors et des jeunes sont plus de 15 points supérieurs aux taux français ! (46,2% pour les 15-24 ans et 56,2% pour les 55-64 ans)

    ► Idem aux Pays-Bas : retraite à 65 ans et taux d’activité des jeunes de 68% et des seniors de 55,1% ; aux Etats-Unis, retraite à 62 ans et taux d’activité des moins de 25 ans à 53,9% et des seniors à 60,6% ; au Royaume-Uniretraite à 62,5 ans pour des taux d’activité de 48,4% pour les jeunes et de 57,5% pour les seniors…

    ► En revanche, le seul pays qui fait moins bien que la France –à savoir la Belgique- a lui aussi une retraite à 60 ans pour des taux d’emploi des jeunes à 25,3% et des seniors à 35,3%…

  • Le PS a menti aux Français en leur faisant croire qu’il suffisait d’augmenter les impôts pour y arriver, comme chaque fois. Oubliant de dire que, in fine, c’est le pouvoir d’achat qui trinque !

  • Le PS a menti en oubliant de dire qu’augmenter la durée de cotisation en maintenant l’âge légal à 60 ans, cela revenait à baisser les pensions ! Pour information, l’âge moyen de début d’entrée sur le marché du travail, c’est 22,5 ans !
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“L’ÉGALITÉ RÉELLE”, LA NOUVELLE SUPERCHERIE DU PS

gillesdavid | 7 janvier 2011

1) Avec son projet sur « l’égalité réelle », le PS de Martine Aubry et Benoît Hamon montre son vrai visage, celui d’un parti gauchiste et archaïque !

On attendait depuis longtemps les propositions du PS, on en a pour nos impôts, mais il faut reconnaître que la collection 2010 ressemble beaucoup à celles des
années précédentes
: dans l’esprit c’est 1936, avec le retour en force des promesses les plus folles et dans la méthode c’est 1981 avec les 110 propositions !
Tous les classiques du vieux socialisme y sont : les voeux pieux, les promesses non financées, les dépenses publiques nouvelles, les hausses d’impôts, les contraintes sur
les collectivités et les entreprises… Et surtout aucun chiffrage en 40 pages !
-  Une succession désordonnée de voeux pieux, de promesses intenables et de nouvelles allocations, sans financement et sans propositions concrètes :
 Des voeux pieux : diviser par 2 les écarts de salaires hommes femmes, tripler le nombre d’enfants accueillis dans les structures collectives (crèches…),
créer un statut social pour les jeunes, réduire de 2/3 le nombre de sans-abris (pourquoi seulement 2/3, d’ailleurs ?), faire en sorte que plus personne ne soit
contraint de consacrer plus de 25% de son budget à son logement, instaurer un prix très bas pour la consommation d’eau, plafonner à 1 euro le coût de
chaque trajet logement/travail…
 Une pluie de nouvelles allocations : une aide au départ en vacances de 200euros minimum pour les mineurs qui ne partent jamais, une allocation
d’autonomie pour les étudiants, une aide à la recherche du premier emploi,

Une avalanche de nouveaux impôts : majorer les cotisations patronales pour les
temps partiels, rétablir les droits de succession à leur niveau antérieur à 2007,élargir la base de la fiscalité du patrimoine, créer un nouvel impôt local pour
remplacer la TP…
 Des contraintes qui risquent d’étouffer les collectivités, l’économie et l’initiative
individuelle
: une loi SRU sur les crèches, un durcissement de la loi SRU sur les logements sociaux (passage à un seuil de 25%), suppression des grandes écoles,
entraves à la libre installation des médecins généralistes, une pluie de pénalités contre les entreprises, les partis politiques, les collectivités…
Bref, quand on fait la somme de tout cela, on a un projet totalement démagogique et complètement irréaliste !
Totalement démagogique : le PS surfe sur la crise et les difficultés des Français en leur faisant miroiter des solutions miracles à coup de nouvelles allocations !
Nous devons avoir le courage de dire la vérité aux Français, de leur expliquer que l’assistanat ne peut pas être une solution durable, que la première cellule de
solidarité, c’est la famille, que la clé de l’autonomie, c’est le travail…
Parce que nous ne devons pas laisser les Socialistes tromper les Français avec leurs jolis mensonges !
Qui peut être contre une aide aux enfants défavorisés ? Personne, simplement, la seule chose qui manque, c’est comment on fait et combien ça coûte ! Notre famille
doit avoir le courage d’expliquer aux Français que les solutions du PS ne sont ni financées, ni réalistes et donc pas crédibles !
Totalement irréaliste : le projet du PS n’est absolument pas financé ! Alors, comme ils ne l’ont pas chiffré, on a commencé à le faire pour eux !
Quelques exemples :
- 200 € pour permettre à 3 millions de mineurs de partir en vacances = 600M€/an ;
- le plafonnement à 1 € du trajet domicile/travail pour 15 millions de personnes= 2 milliards €/an ;
- le « droit universel à la dépendance » assis sur la solidarité nationale = 30milliards€ en 2030 ;
Il faudra maintenant que le PS nous explique où il trouve l’argent ! Le PS oublie trop souvent qu’avant de partager la richesse, il faut la créer !

2) Finalement, la seule chose qui unit encore un PS déchiré par les ambitions personnelles, c’est la haine irraisonnée et viscérale de Nicolas Sarkozy

Ils avaient tenté de nous faire croire à leur unité retrouvée lors de leurs universités d’été, mais nous avons bien vu que dès qu’ils rentrent dans les propositions
concrètes, ils ne sont d’accord sur rien !
Et les déchirements auxquels nous avons assisté proviennent uniquement du fait que le PS français n’a toujours pas fait son aggiornamento, les socialistes n’ont pas
crevé leurs abcès idéologiques.
Du coup, les divisions apparaissent au grand jour dès qu’ils tentent de dépasser leur seul rejet du Président :
 d’un côté, les modernes qui rêvent d’un parti socialiste réformiste, responsable et crédible, à l’image de ce qui existe en Allemagne, en Espagne, en Grande-
Bretagne…
 de l’autre, les archéos, avec Benoît Hamon en digne successeur d’Henri Emmanuelli, qui appelle à cogérer le pays avec les syndicats, à multiplier les
dépenses… Ceux-là ne se comparent qu’à Besancenot et maintenant Mélenchon…et comparent la France à celle de 1981 voire même de 1936…

3) Et finalement ce projet sur « l’égalité réelle » porté par le tandem Hamon-Aubry,ce sont encore les socialistes qui en ont le mieux parlé !

N’oublions pas les mots qu’ils ont eus : « totalement irréaliste », « pas raisonnable de signer un chèque en blanc », « calendrier irréaliste », « ambiguïté », « manque de
clarté et de crédibilité », « hotte du père Noël », « catalogue sans chiffrage ni hiérarchie», « mélenchonisation des esprits »…

Dans le détail et en live :
 Pour François Rebsamen, « il va falloir, pour être un parti de gouvernement, un parti crédible aux yeux des Français, hiérarchiser nos priorités, ce que le texte ne
fait pas. Les propositions sont là, mais il faut les ordonner »
 Pour Manuel Valls, « il manque le chiffrage, il manque la base essentielle ». « La volonté des Français de se révolter contre le président de la République ne peut
trouver une réponse que si la gauche, si les socialistes présentent un projet crédible qui corresponde réellement à l’état économique et financier du pays ».
« On fait l’inverse de ce qu’il fallait faire ».
 Pierre Moscovici ne votera pas « en l’état », refusant de « signer un chèque en blanc » et jugeant « son élaboration entachée de trop d’opacité et d’un calendrier
irréaliste ».
 Michel Sapin : « François Hollande et ses amis se détermineront au vu du texte final. Nous jugerons en fonction de ce que le texte sera devenu »

Résultat : comme une partie du PS, les Français pensent que l’opposition n’est pas crédible ! Selon le dernier sondage IFOP pour Paris Match,
ils sont 62% à penser que l’opposition ne ferait pas mieux que la majorité si elle était au pouvoir…

L’UMP est en ordre de bataille pour expliquer aux Français la réalité du projet du PS, pour les convaincre que l’assistanat ne peut pas être une solution durable, que la
première cellule de solidarité, c’est la famille, que la clé de l’autonomie, c’est le travail…

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