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Personne n’a mieux fait que Nicolas Sarkozy

gillesdavid | 31 décembre 2011

Message de notre ami René CADIOU

Quelques raisons de voter Nicolas SARKOZY

Rarement, peut-être jamais, un Président de la République n’aura subi autant de reproches à propos de tout et de rien. Parmi ceux qui lui sont quotidiennement adressés par une gauche qui a perdu la mémoire, il y a l’augmentation de la dette et celle du chômage, que l’opinion doit entendre comme des dérives inconnues avant la présidence de Nicolas Sarkozy. Il me semble donc utile de rafraîchir les mémoires en rappelant quelques chiffres. Lorsque François Mitterrand a succédé à Giscard d’Estaing, il a hérité d’une dette équivalente à 21% du P.I.B.. Au cours de ses deux septennats, il l’a multipliée par 6, Jacques Chirac, dans le temps de son septennat et de son quinquennat, ne l’a pas multiplié tout à fait par 2. La différence est considérable, par 6 en 14 ans, par moins de 2 en 12 ans. En ce qui concerne le taux de chômage, il était de 6,5% lorsque François Mitterrand a été élu, il était de 11% à la fin de ses deux septennats. La période qui va de 1997 à 2002, au cours de laquelle Lionel Jospin était Premier Ministre, a vu le chômage plafonner à 12% en 1997, 1998 et 1999, puis redescendre à 9% en 2002. Après être remonté à un peu plus de 10% en 2005, il est descendu à un peu plus de 7% en 2008. Si l’on retient que la gauche a bénéficié des deux seules périodes de croissance des trente dernières années, sous les mandats de Michel Rocard et de Lionel Jospin, il faut reconnaître que, avec une croissance très faible et les conséquences des toutes premières années d’une crise que le monde n’avait jamais connue, la droite a fait mieux, notamment Nicolas Sarkozy, qui a ramené le taux de chômage à un peu plus de 7% en 2008. Sur ces deux aspects déterminants de la gestion de l’Etat, incontestablement, la droite a fait mieux que la gauche.

Il me paraît également important de traité objectivement de la promesse d’augmentation du pouvoir d’achat qui n’aurait pas été tenue. Il y a eu la crise, elle est encore là et le sera demain et après-demain, qui est venue contrarier la réalisation de cette promesse. De toute manière, il faut avoir l’honnêteté de le dire, le poids de la dette révélé par la crise, pour nous comme pour la plupart des pays occidentaux, devenait tel que crise ou pas, la vie qui serait désormais la nôtre serait différente de celle que nous avions vécue. Nos pays ont voulu vivre comme s’ils étaient encore les seuls à fournir des produits manufacturés au reste du Monde, ce n’est plus le cas. Dans ces conditions, le seul maintien du pouvoir d’achat apparaît déjà comme une gageure.

Si tous les Etats occidentaux souffrent de la crise, nous avons sans doute été parmi les plus insouciants en allant à contre courant de ce qu’il convenait de faire, retraite à 60 ans, 35 heures, marché du travail rigide, principe de précaution. De plus, en évaluant le déficit budgétaire et le poids de la dette en pourcentage du P.I.B., l’Europe en a dissimulé la véritable réalité qui aurait, peut-être, alerté les populations, voire les représentations nationales qui, à force de raisonner en ces termes, se sont persuadées de la pertinence de ces références. En effet, 3% paraissent peu, sauf que rapportés au P.I.B. ils représentent 60 milliards, et que, rapportés au budget, il ne s’agit plus d’un déficit de financement de 3% mais de 26%. L’Etat dépense 290 milliards et 47 milliards de charges de la dette pour 201 milliards de recettes. De même, un endettement évalué à 60% du P.I.B., soit pour ce qui nous concerne près de 1.200 milliards, demeure considérable, d’autant plus qu’il ne contribue essentiellement qu’à financer les dépenses courantes. Imaginez une entreprise, un ménage qui dépenseraient chaque année 26% de plus qu’ils n’ont de recettes qui, chaque année, emprunteraient ne serait-ce que 60% de ses revenus, actuellement 85,3% desdits revenus. Avec une progression annuelle du P.I.B. à 3,5%, ce qui ne se produira pas dans l’avenir prévisible, il faudrait 24 ans pour rembourser le capital emprunté. La dette est devenue le crédit revolving que dénoncent les associations de consommateurs, on rembourse les intérêts et une part infime du capital, le plus souvent l’inverse. Elle est considérée comme une ressource au même titre que la fiscalité. Il n’en reste pas moins que, chez nous, dans les années Sarkozy, non seulement les salaires n’ont pas été réduits comme dans quelques pays voisins, qu’ils n’ont pas davantage été bloqués, qu’ils ont même progressé, légèrement, pour partie à crédit, hélas ! et que le pouvoir d’achat a donc augmenté. Puisqu’il faut toujours comparer, comparons : en Allemagne, le salaire d’un ouvrier n’a progressé que de 5 euros par mois en 10 ans. Je ne m’en réjouis pas. Je constate que les Allemands ont fait cet effort et consenti beaucoup d’autres, ce qui leur permet de mieux s’en sortir. J’ajouterais, comme l’a confirmé l’O.C.D.E., que nos dispositifs sociaux ont fait que, chez nous, les inégalités ne se sont pas creusées alors qu’elles l’ont fait ailleurs. Ainsi, lorsque la gauche prétend toujours au monopole du cœur, il est utile de rappeler que c’est à partir du premier septennat de François Mitterrand que les plus values se sont dirigées plus fortement vers le capital au détriment du salariat. Le fait qu’il en ait été ainsi dans la plupart des pays développés, n’excuse pas la gauche de s’en être accommodée.

François Hollande et la gauche présentent la réforme fiscale qu’ils envisagent comme devant être la pierre philosophale qui transmuera nos déficits en excédents. Il faut une réforme pour simplifier notre système fiscal et alléger les charges de gestion qu’il impose. Le mythe des plus riches, qui fait partie de notre folklore, va être mis en avant, autrefois les Deux Cents Familles, naguère la Haute Banque, le Comité des Forges, aujourd’hui les actionnaires, une réalité qui n’est toutefois pas celle qu’on croit. Cela ne me gène pas que les plus riches paient davantage, voire beaucoup plus. Mais il ne faut pas rêver à propos du rendement de la fiscalité, elle est déjà globalement lourde, une augmentation de 10% de l’impôt sur le revenu ne rapporterait que 6 milliards. Une meilleure rentrée de l’impôt sur les sociétés et l’abandon de la déduction des pertes sur exercices antérieurs rapporteraient peut-être autant, je n’ai pas les éléments du calcul. Mais, en ce qui concerne nos entreprises, il faudra tenir compte de ce que leurs profits après impôts, sont passés de 8% à 5% dans le même temps qu’ils passaient de 8% à 10% en Allemagne. Quant à la TVA, si nous la faisions passer de 19,6% à 21%, elle ne produirait qu’un supplément de recettes de 5 milliards. Il n’y a donc pas de miracle à espérer du côté de la fiscalité. Il y en a du côté des économies. Pour éviter tout emballement excessif et avoir présente à l’esprit la réalité de la situation, il faut mettre côte à côte les possibilités de la fiscalité, peut-être 20 milliards, en y ajoutant les « niches », autre source intarissable pour la gauche, la dette, 1.689 milliards, et la charge annuelle qu’elle impose, 48 milliards.

Sur le caractère et les capacités à faire face à une crise quelle qu’elle soit, les sondages donnent nettement l’avantage à Nicolas Sarkozy sur son principal rival. Ce qui précède témoigne que la droite et Nicolas Sarkozy ont fait mieux ou beaucoup moins mal que la gauche. Les pays occidentaux sont affrontés à un problème qu’ils n’avaient jamais connu : une croissance faible, qui dure et menace de se prolonger durablement, jointe au poids d’un grand nombre de retraités et d’une population qui vieillit, accrochée à ses acquis sociaux qui, par la force des choses, devront être attribués en fonction des revenus de leurs bénéficiaires. C’est un problème structurel, démographique et de répartition de la richesse dans le monde et des moyens dans nos pays, qui n’a rien à voir avec les idéologies qu’elles soient de droite ou de gauche ou des extrêmes des deux bords. Face à ces difficultés, voire à ces menaces, mon choix ne sera pas stupidement influencé par une soirée au Fouquet’s ou un bref séjour sur le yacht de Vincent Bolloré. A ce propos on a dénoncé le « fric ». Sacré Nicolas ! Il aurait dû faire attention lui qui n’aime ni les dîners, ni les réceptions, ni les mondanités, lui qui ne mange que des pizzas et ne boit que de l’eau, il aurait pu ruiner la réputation du Fouquet’s. François Mitterrand était beaucoup plus prudent vis-à-vis de l’argent, l’argent qui corrompt disait-il. Pour éviter de l’être, corrompu, il n’avait jamais un centime en poche. Il choisissait l’établissement qui lui plaisait, la Brasserie Lipp, sans doute aussi le Fouquet’s, une bonne librairie, un bon bouquiniste et laissait ses amis régler l’addition, parfois la République a dû faire les frais de dépenses qui n’avaient rien à voir avec le fonctionnement de l’Etat. Manière très payante, on le voit, d’exprimer sa détestation du « fric ».

René CADIOU le 31 décembre 2012

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Attaques malhonnêtes et organisés du PS Concarnois

francoisbesombes | 15 décembre 2011

Voici un communiqué de François BESOMBES, 1er Adjoint au Maire de Concarneau

“Nous faisons l’objet d’attaques organisées et malhonnêtes contre notre programme de cession de bien. J’ai donc fait passé un communiqué dans la presse pour ce matin.”

Voici donc, ci-dessous, dans son intégralité, le communiqué original.

————————–  Début du communiqué   —————–

Dans son dernier communiqué, le groupe PS condamne le programme de cession de biens municipaux. Je pose ouvertement la question de la crédibilité que l’on peut accorder à une opposition qui s’oppose à tout, de manière systématique, quitte à aller contre les plus grandes évidences !

Dans une liste de reproches du groupe PS, on peut lire que la Ville vend un terrain à la Boissière et le bâtiment Ifremer. Il s’agit là de la vente d’un terrain classé en foncier économique et d’un bâtiment situé dans le pôle industriel du port qui sont tous deux vendus à des entreprises en développement. Doit-on refuser à ces entreprises des solutions de développement sur Concarneau ?

L’ancienne école du Lin, qui selon le groupe d’opposition, ne devrait pas être vendue, va être réhabilitée par l’OPAC pour accueillir des jeunes ménages en primo accession dont  les solutions de logement en centre ville sont rares. Ou encore l’ancienne mairie qui serait bradée alors qu’elle est frappée par une fermeture administrative pour insalubrité, suite à une absence  totale d’entretien par cette même équipe si critique aujourd’hui. En ce qui concerne la vente du Manoir du Porzou, la question est évidemment d’actualité en raison de sa sous utilisation et de ses charges de fonctionnement importantes. A cela, l’opposition municipale ajoute le projet de vente de l’école de musique, or c’est faux,  il n’en est pas question, le budget en atteste.

Le programme de cession correspond à une évolution de la ville, il s’agit donc d’adapter, de doter Concarneau d’équipements associatifs, culturels, sportifs… dont les Concarnois ont besoin, et en céder d’autres qui ont pu avoir un usage dans le passé. En effet, face à ces ventes, la Ville investit dans de nouveaux équipements tels que la Maison des Associations, la Ferme du Moros, le Centre Nautique, les Tennis couverts, la maison de quartier de Lanriec…

La politique locale ne devrait pas se résumer à un affrontement permanent entre une opposition et une majorité. Une place à l’objectivité doit exister, sans quoi l’intérêt pour notre ville ne serait alors qu’accessoire.

François BESOMBES
1er Adjoint au Maire de Concarneau

—————————  Fin du communiqué    ——————


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Le PS, par hargne partisane, s’embourbe.

gillesdavid | 2 décembre 2011

De notre ami René CADIOU

Quelques commentaires sur les déclarations récentes de l’opposition.

Il y a celle d’Arnaud Montebourg, toujours aussi charmant, qui voit en Angela Merkel un Bismarck dominateur et conquérant, prête, au besoin, à falsifier les textes comme le fit le célèbre Chancelier le 13 juillet 1870. Pour l’instant, en matière de falsification, ce serait plutôt Martine Aubry qui s’est illustrée en mettant du « mox » là où il n’y en avait pas. Mais, c’est surtout, celle de Jean-Marie Le Guen qui compare le récent sommet France-Allemagne-Italie à Strasbourg à la rencontre Daladier-Hitler-Mussolini à Munich. Pour être complet, il aurait dû ajouter que c’était ses amis, le Front Populaire, qui étaient au pouvoir lorsque les accords de Munich ont été signés.

François Hollande, lui, continue sur le thème : « Madame Merkel décide et Monsieur Sarkozy suit. » A contrario, et dans l’éventualité de son élection à la Présidence, nous devons comprendre que dès le lendemain de son installation, les dirigeants du monde entier, à commencer par Angela Merkel, se précipiteraient à l’Elysée pour lui rendre hommage, au sens féodal du terme bien entendu, et prendre ses ordres pour la conduite des affaires de l’Europe, voire du Monde. Il prétend donc pouvoir imposer sa volonté à l’Allemagne et, entre autres, lui faire accepter les « euro-bonds » et une taxe sur les transactions financières. Etant donné les applaudissements que la Chancelière a recueilli devant le Bundestag ce vendredi 2 décembre, il y a peu de chances pour qu’il parvienne à imposer ses vues et les « euro-bonds ». Quant à la taxe sur les transactions financières, Nicolas Sarkozy n’a pas manqué de la proposer il y a déjà un moment. Mais ce soit disant brillant économiste de François Hollande, ignore sans doute que l’essentiel des transactions financières se font à Hong Kong, Singapour et Londres et que, malheureusement, ces pays qui vivent en partie de ces activités, refusent cette taxe. Dans le même ordre d’idée, non seulement l’Angleterre, mais aussi l’Espagne, ont jugé trop contraignante l’abandon des CDS qui n’auraient pas d’actifs sous-jacents. Ce qui prouve, mais je ne m’en réjoui pas, que dans ces moments difficiles, lorsque l’on peut se faire un peu d’argent, même avec des titres douteux, il est difficile de s’en priver. Il ne suffit pas de s’appeler Hollande et d’être socialiste pour s’imposer. François Mitterrand s’est incliné devant la volonté de Margaret Thatcher. « I want my money back ! » L’aurait-il oublié ?

Il est vrai que notre culture, au contraire de celle de l’Allemagne, nous pousse au laxisme budgétaire. Rechignant aux efforts, nous réglions nos problèmes à coups de dévaluations. Aujourd’hui ce n’est plus possible, et tant mieux ! Les statuts de la BCE s’opposent à une monétisation de la dette, au rachat, donc, des émissions des pays membres. Personnellement, je n’y suis pas défavorable tout en sachant que ce moyen comporte le risque de voir les mêmes pays s’endetter davantage, puisque, dès lors, ils pourraient céder leurs dettes à la banque centrale. Mais il faut savoir que la BCE n’est pas Fort Knox, que si elle achète de la dette elle est obligée de créer artificiellement de la monnaie, la fameuse planche à billet dont nous avons usé et abusé. Il faut, dans ce « rapport de force », convenir que l’on doit à Nicolas Sarkozy, contre Angela Merkel, le plan d’aide à la Grèce, la mise en place du Fonds Européen de stabilité, un futur Fonds monétaire européen. Ce n’est pas rien ! Nicolas Sarkozy n’est pas plus à la botte d’Angela Merkel, qu’Angela Merkel n’est à la sienne. L’Allemagne souhaite, en retours, davantage de cette rigueur qui nous a manquée. Quoi de plus équilibré dans une relation entre des pays si différents dans leur gestion et leur culture ?

Je suis persuadé que, dans les prochains jours, une initiative, commune aux deux pays, peut-être à un ou deux autres, sera prise. On la devra tout autant à la détermination de Nicolas Sarkozy qu’à la volonté allemande.

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