Les 4 délégués des circonscriptions du Finistère Sud ont  l’honneur de vous inviter

à passer une journée militante dans le cadre de la seconde édition

de la « Cornouaille Touch » le 29 septembre à Pouldreuzic.

Gilles DAVID (8ème) - Ludovic JOLIVET (1ère) - Caroline VIGOUROUX  (6ème) - Thierry MAVIC (7ème)

Notre mouvement et nos militants doivent, après les événements du printemps, se remobiliser afin de créer une opposition forte et crédible, face aux alliances majoritaires de gauche qui piétinent dans un contexte mondial tendu.

Nous le constatons chaque jour, le gouvernement hésite : Nucléaire, vote des étrangers, prix de l’essence…, mais contrairement à ses promesses, va aussi ponctionner les ménages, augmenter impôts et CSG !

Nous évoquerons tous ces sujets. Mais la reconquête s’organise d’abord dans nos territoires. Il n’y a pas de majorité à Paris, sans force, sans adhésion locale. La droite a besoin de parlementaires, de maires, de conseiller régionaux, généraux, de militants motivés, déterminés à défendre nos valeurs et nos territoires.

Samedi 29 septembre : Rendez-vous à partir de 10h00 (café d’accueil)

Salle Polyvalente « Pierre Jakez-Helias » à Pouldreuzic

Accueil par Marie Thérèse Gourlaouen, Maire de Pouldreuzic.

INSCRIPTION OBLIGATOIRE SOIT :

Par E-mail à Valérie Lecerf : lecerflivetvalerie@wanadoo.fr

Par téléphone à Caroline Vigouroux au 06 83 23 38 17

Par courrier : Thierry Mavic, 17, rue Jules Simon 29120 PONT-L’ABBE

Une bonne analyse du député Bernard Debré.

Le président normal chute dans les sondages, ce qui est normal et attendu.

Pr. Bernard DEBRE
Ancien Ministre
Député de Paris

Marpol : Voté à une écrasante majorité !

Le Parlement européen votait ce midi le rapport MARPOL, relatif à la teneur en soufre des combustibles marins. Le texte sur lequel Agnès Le Brun s’est beaucoup investie en parvenant à faire voter un amendement qui permettra à la France de renégocier la convention internationale Marpol, a été approuvé à une très large majorité avec 606 voix (seuls 55 votes contre).

Une nouvelle fois, cette victoire prouve que le travail et la concertation menés tout au long des derniers mois à l’échelle de notre pays comme à celle de l’ensemble de l’Union européenne porte ses fruits.

Au cours des débats, Agnès Le Brun a souligné combien il était désormais nécessaire que les gourvernements nationaux se saisissent de cette oportunité qui leur était offerte grâce à l’amendement qu’elle a porté pour renégocier la convention, aux exigences trop lourdes pour nos armateurs.

intervention d’Agnès Le Brun le 11/09/2012 en session plénière

Richard Mallié
LES 3 ENORMES BOBARDS ÉCONOMIQUES DE FRANCOIS HOLLANDE

François Hollande sur TF1 a annoncé un « agenda du redressement », qu’il présente comme « le plus important depuis trente ans ». François Hollande a présenté un effort de 30 milliards d’euros sensé être équitablement réparti : un tiers pour l’Etat, un tiers pour les entreprises, un tiers pour les ménages. Si la logique de communication est bien huilée, c’est un MENSONGE économique.

LE 1er MENSONGE consiste à prétendre que l’effort supplémentaire des ménages ne sera « que » de 10 milliards d’euros. En réalité, en 2013, les Français subiront aussi la pression fiscale supplémentaire décidée dans la Loi de finances rectificative votée cet été, qui pesait déjà majoritairement sur eux.

LE 2eme MENSONGE, le plus grave, consiste à faire comme si une augmentation d’impôt ou une baisse de dépenses avait un effet économique équivalent. Or, c’est évidemment faux. Alberto Alesina a montré dans deux papiers (l’un de 2009, l’autre de 2012) que baisse des dépenses et augmentation de la fiscalité n’avaient absolument pas les mêmes conséquences sur la croissance.

Avec ses co-auteurs, l’économiste de Harvard a conclu que les ajustements fiscaux « qui reposent sur une baisse des dépenses et non sur une augmentation de la fiscalité sont plus susceptibles de réduire les déficits et la part de la dette dans le PIB que ceux qui reposent sur des augmentations d’impôts ». En outre, « ceux fondés sur la fiscalité favorisent de longues et durables récessions ». En clair, pour réduire la dette et favoriser la croissance : il faut baisser la dépense, pas augmenter les impôts.

LE 3eme MENSONGE, c’est de laisser croire que les augmentations d’impôt suffiront à résoudre le problème de la dette. La fiscalité est déjà particulièrement élevée : en juillet, avant qu’il ne fasse ses nouvelles annonces, le Gouvernement prévoyait que les prélèvements obligatoires devraient représenter 46,5% du PIB. Ce qu’il faut désormais, c’est baisser les dépenses, comme la Cour des comptes l’a rappelé en début d’année.

L’excès de dette nuit à la croissance. Les travaux de Reinhart et Rogoff l’avaient montré. Au début de l’été, une étude de la BCE confirmait que les effets éventuellement positifs de la dette publique s’estompent au-delà de 67% du PIB pour devenir clairement négatifs vers 95% du PIB. En France, nous sommes proches de 90% du PIB.

Le problème c’est que le Gouvernement ne s’attaque toujours pas aux baisses de dépenses. La loi de finances estivale ne comportait pas un seul euro d’économie. Le Président vient d’annoncer que la prochaine proposerait seulement un gel des dépenses. C’est largement insuffisant. En outre, c’est nuisible à la croissance.

François Hollande a dit qu’il ferait de la croissance sa priorité. S’il est sincère, il doit s’intéresser à l’économie et non à sa communication personnelle.